La pandémie du Coronavirus continue de faire couler des larmes dans le monde entier et dans le même temps remplir les poches de certains, notamment dans l’industrie pharmaceutique ,dans l’alimentaire et quelques rares autres secteurs.
Il est claire et sûr de tous que cette maladie n’est pas du tout la bienvenue et que l’encre qu’elle laisse couler est de très mauvais goût appuyé d’une odeur funeste pour les occupants de la planète terre.
En Afrique, surtout en Côte d’Ivoire, la tendance est telle que même les sujets les plus sensibles sont prient pour en faire des concepts musicaux, comme cela a été le cas en 2009 avec l’épidémie de Grippe Aviaire qui a secoué le monde entier imposant l’interdiction de la consommation de certains animaux précisément la volaille. Cela n’a guère effrayé certains artistes ivoiriens, en particulier un qui s’est fortement distingué par son Album »STOP GRIPPE AVIAIRE » avec le titre »GRIPPE AVIAIRE » qui a eu un succès de grondement de Tonnerre dans le Showbiz Ivoirien et hors des frontières.
DJ Lewis, à l’annonce de cette nouvelle pandémie était encore silencieux jusqu’a ce que ses fanatiques l’excitent à saisir encore cette occasion pour faire parler de lui et s’imposer dans le milieu du coupé décalé (Genre musical ivoirien) lui qui depuis un bon moment avait disparus de la scène ivoirienne.
Objectif atteint pour ses fans, il a finalement contracté l’idée. Dans une vidéo virale sur les réseaux sociaux l’on pouvait repérer l’artiste s’egosiant afin de trouver les bonnes notes lors d’un enregistrement audio en studio. En vérité, l’artiste est finalement entré au couvant et compte faire sortir un tube sur le Coronavirus.
Bonne ou mauvaise idée vu l’ampleur de la consternation dans laquelle ce mal laisse les nations?
Le comble, l’état d’urgence dans lequel sont la majeure partie des pays, n’a pas laissé la Côte d’Ivoire en marge. Suite au discours du président Alassane Ouattara qui a décrété un couvre-feu et exigé la fermeture des barres, maquis et autres lieux d’attractions, que ce soit pour le gain ou par tendance, l’on dirait que l’artiste est très mal barré, dans le jargon ivoirien l’on dit : »Il va tapé gros poteaux ». Vivement que cette tragique épisode que traverse l’humanité passe.
C’est aussi le moment de rappeler que des milliers de personnes tombent partout dans le monde dû à ce mal. Veillons donc respecter les mesures et consignes décrétées dans l’intérêt de tous.
BENINTIMES �>
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